Témoignages
Parce que nos anciens étudiants ont reçu une bonne formation dans une bonne ambiance de travail et de vie, ils gardent de leurs "années-Prépa" et de leurs professeurs un très bon souvenir.
Michel admis à l’école polytechnique
Ayant été bien préparé par nos professeurs, mes notes au concours écrit m’ont permis d’être admissible à toutes les écoles de la banque PT.
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Olivia admise à l’ENS Cachan
Comme c'est une question qui est souvent revenue à mes oreilles lors de mes entretiens, je répondrai donc qu'une prépa scientifique n'est pas plus dure ou moins accessible pour une fille que pour un garçon et le fait qu'il y ait une majorité d'hommes dans ces filières n'est en aucun cas un problème voire une excuse pour passer à côté d'une occasion de faire une prépa scientifique !
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Maxime admis à l’ENS Cachan
Je considère la prépa comme un tremplin : en sachant bien le prendre, il peut t’emmener loin ; idéalement à l’endroit où tu voudras.
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Florent admis aux Arts et Métiers ParisTech
Tous veulent réussir et l'ambiance est propice au travail. Les devoirs et interrogations, fréquents, permettent de se situer, de faire ressortir ses points faibles et donc d'y remédier facilement.
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Pierre admis aux Arts et Métiers ParisTech
Je garde un très bon souvenir de ces 2 ans pendant lesquels je me suis fait de nombreux potes avec qui je suis toujours en contact aujourd'hui, et qui m'ont permis d'intégrer l'école que je souhaitais, les Arts et Métiers à Angers.
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Ariel admis à l’ESTP
En outre, à Lesage, la remarquable qualité de l'enseignement n'a d'égale que la gentillesse et la proximité des professeurs. Chacun travaillant selon ses moyens, il ne reste que l'élan vers la réussite. L'équilibre de chacun est le souci de l'équipe éducative, ainsi le profond sentiment de camaraderie, l'ambiance de travail sont des caractéristiques propres à cette classe de PT à Lesage. Tout le monde est tiré vers le haut. J'y ai fait de merveilleuses rencontres je vous l'assure.
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Antoine admis à l’ENSEEIHT
Au final, ces deux années ne sont pas le calvaire auquel on pourrait s'attendre. Certes le travail occupe une place importante mais la bonne ambiance de la classe permet de décompresser ou de travailler en groupe.
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Après un bac S option Sciences de l’ingénieur au lycée St Joseph de Vannes, les professeurs m’ont conseillé de m’orienter vers une prépa de type PT (orientée vers les sciences industrielles).
Habitant à 20 minutes de Vannes, c’est la prépa du lycée Lesage qui m’a apparue comme la plus séduisante, en effet mes professeurs m’avaient informé qu’auparavant certains élèves avaient déjà réussi à intégrer de très prestigieuses écoles telles Centrales Paris ou l’Ecole Polytechnique (l’école qui a orienté toutes mes études afin de devenir ingénieur).
Arrivé en prépa, j’ai été confronté à un tout nouveau mode de travail ainsi qu’à la vie en internat. Après un premier mois laborieux, je me suis finalement bien adapté au rythme de travail d’autant plus que les professeurs du lycée Lesage étaient toujours à notre disposition lorsque nous avions un problème de compréhension.
Cependant afin de pouvoir se libérer de temps à autre de ce cycle de travail je pense qu’il est primordial de se consacrer à une activité le week-end (le foot pour moi).
La deuxième année passe beaucoup plus rapidement que la première, en effet on est déjà adaptés au cycle colle-DS, de plus, le concours Banque PT débute en mai.
L’atout de la Banque PT est que toutes les écoles se jouent sur un seul concours, seulement les coefficients des épreuves changent.
Je me suis préparé aux concours Centrales-Supélec ainsi que Polytechnique (on se rend vite compte que le français et l’anglais sont des matières très importantes à l’écrit).
Le concours m’a paru basé principalement sur des connaissances solides du cours.
Ayant été bien préparé par nos professeurs, mes notes au concours écrit m’ont permis d’être admissible à toutes les écoles de la banque PT. Ainsi je suis parti passer les oraux pour l’admission. Pour réussir les oraux il est important d’avoir toujours bien travaillé les colles, cependant, pour l’Ecole Polytechnique il existe des oraux spéciaux auxquels je ne m’étais pas préparé suffisamment à l'avance (par manque de confiance en moi).
Malgré cela, j’ai pu tout de même être admis à l’école Polytechnique.
Ce que je retiendrai de ces deux années de prépa c’est que malgré un investissement personnel certain il existe dans la prépa un esprit de camaraderie et un bon esprit de compétition et d’entraide qui ne me font absolument pas regretter d’avoir fait une prépa au lycée Lesage.
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Venant d’un bac S-SVT, je cherchais un cursus me permettant d’évoluer dans le domaine des matières scientifiques sans pour autant m’orienter trop directement dans mes études.
N'étant pas très organisée et pas des plus travailleuses, j'ai tout de suite pensé qu'il me fallait un milieu de travail assez encadré afin de me motiver et me forcer à bosser comme il le fallait.
La prépa m'est donc apparue comme cadre scolaire.
Ensuite vient le choix de la filière, j'ai hésité longtemps entre une prépa PCSI ou PTSI (bien que je n'aie jamais fait de SI). Finalement , ce sont la curiosité et l'envie de découvrir une nouvelle matière qui l'ont emporté.
Ainsi , j'ai choisi la filière PTSI de la prépa du lycée Lesage car j'avais eu de bons échos de cette prépa. De plus, habitant à Vannes, cela m'a arrangée d'avoir le lycée à proximité de chez moi.
Pour ce qui est de la prépa, je ferai court. Dans l'ensemble, l'ambiance générale était bonne et l'entraide toujours au rendez-vous (sans doute un effet "prépa de Province" qui amène une atmosphère de travail plus agréable, et même si le niveau de travail requis est bien plus élevé qu'au lycée, on s'habitue rapidement au rythme scolaire).
De plus, les professeurs ont toujours été derrière nous pour nous soutenir ou pour répondre à nos questions.
Bien que n'ayant jamais fait de SI, j'ai réussi à avoir (dans l'ensemble mais avec des hauts et des bas) des notes acceptables. De toute façon, tout à été conçu de sorte que les élèves de BAC SVT ne garde aucune lacune par rapport à ceux venant d'un BAC SI.
Durant la deuxième année, j'ai passé les concours afin d'intégrer une école d'ingénieur. Chose pratique en PTSI, c'est qu'on ne passe qu'un seul concours commun au lieu de plusieurs dans les autres filières.
Aux termes des écrits j'ai été admissible aux Arts Et Métiers (ENSAM), à l'Ecole Normale Supérieure de Cachan (ENS) ainsi qu'aux Concours Commun Polytechniques (CCP à ne pas confondre avec l'Ecole Polytechnique).
Suite à notre admissibilité, nos professeusr se sont adaptés pour nous entrainer en vue de nos oraux, selon ce que l'on avait besoin de réviser.
Puis j'ai reçu ma convocation et suis partie à Paris passer mes oraux. N'étant pas des plus douée lorsqu'il s'agit de passer à l'oral j'ai été un peu déçue de certaines de mes notes d'oral mais j'ai tout de même réussi à intégrer l'ENS de Cachan !
Je conclurai par le fait que ces deux années de prépa m'ont donné encore plus le goût des matières scientifiques ainsi qu'une certaine autonomie de travail.
PS: comme c'est une question qui est souvent revenue à mes oreilles lors de mes entretiens, je répondrai donc qu'une prépa scientifique n'est pas plus dure ou moins accessible pour une fille que pour un garçon et le fait qu'il y ait une majorité d'hommes dans ces filières n'est en aucun cas un problème voire une excuse pour passer à côté d'une occasion de faire une prépa scientifique !
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Je me présente : je suis Maxime, élève de la classe prépa PT au lycée A. R. Lesage de Vannes et je suis désormais admis à l’ENS de Cachan.
Intéressé par la prépa ou déjà dedans, tu trouveras ici mon témoignage qui, j’espère, te sera utile.
Je considère la prépa comme un tremplin : en sachant bien le prendre, il peut t’emmener loin ; idéalement à l’endroit où tu voudras. L’idée que je m’en fais, c’est qu’il faut se donner les moyens de ses ambitions, et qu’ainsi, tes projets se réaliseront. Pour ma part, mes projets ont changé au cours de ces deux années. Mais j’ai toujours eu en tête de ne pas laisser les aléas du concours décider de mon orientation. Il faut savoir que ces deux années de prépa ne seront jamais perdues et surtout, il faudra garder en tête la raison qui a fait que tu y es. D’ailleurs, certains ont abandonné en cours de cursus, mais ce n’est pas pour autant qu’ils s’en sortent moins bien : très souvent ils sont majors de leur promotion. La prépa leur a permis d’apprendre à travailler, voire d’apprendre à apprendre. C’est bien ça le plus dur.
Si la motivation ne te fait pas défaut : sois confiant, l’équipe de professeurs du lycée Lesage saura faire fructifier tout le potentiel que tu as en toi. Elle s’investit beaucoup. D’autant plus que l’ambiance au sein de la prépa est studieuse sans pour autant être trop sérieuse : la compétition n’est pas le maître mot, ce qui est rare dans une prépa de qualité.
Une des caractéristiques de la prépa, c’est qu’elle te prépare à un concours, pas à un examen mais à un concours. L’idée n’est donc pas d’avoir la moyenne, mais de donner le meilleur. Alors, comment se distinguer ? Une des manières les plus simples est de s’intéresser aux langues étrangères (notamment et essentiellement l’Anglais). Pour ma part, j’étais, et je suis toujours, impliqué dans une association de jumelage avec une ville d’Irlande. En plus de la section européenne au cours du lycée, j’étais plutôt bien paré pour les oraux. Donc, ça m’a permis de rattraper quelques points, qui font la différence, et surtout de ne pas passer trop de temps sur l’Anglais, sans le négliger pour autant. Qui plus est, comme on nous le dit bien souvent, la clef est le travail régulier. Je sais qu’on nous le dit à longueur de journée et que l’on n’y croit pas, au début, mais avec le recul, on se rend très vite compte que c’est vrai.
S’amuser, oui, et cela est même très important pour garder le moral. Tout comme le sport qui est très bénéfique, que ce soit pour le corps ou l’esprit. Pour ma part, je faisais du rugby avec les premières et deuxième années des deux prépas. On a passé de très bons moments.
Je conclurai tout simplement en te souhaitant bonne chance pour la suite, quoi que tu fasses.
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La prépa, on y entre parce qu'on a de l'ambition, parce que c'est le souhait de ses parents ou simplement parce que ça laisse encore un peu de temps pour réfléchir à ce que l'on veut vraiment faire.
Dans tous les cas, c'est un nouveau monde qui ouvre ses portes, un monde excitant et déstabilisant où les sciences changent de visage mais auquel on s'habitue rapidement. Nouvel emploi du temps, plus chargé ; nouvelle façon de travailler, mais pas de quoi s'affoler. On essaie de ne pas prendre de retard et on sait qu'on peut s'appuyer sur nos professeurs pour avancer.
Tous veulent réussir et l'ambiance est propice au travail. Les devoirs et interrogations, fréquents, permettent de se situer, de faire ressortir ses points faibles et donc d'y remédier facilement.
Heureusement, un créneau sport bien aménagé et un accès illimité à des terrains de basket, de football et des courts de tennis facilitent une bonne hygiène de vie. Sans oublier que les week-end, bien que raccourcis sont le moment de se détendre au maximum car non surchargés de travail (sauf en cas de mauvaise organisation personnelle).
Vient la période des concours. Chacun se prépare comme il sait le faire, se souvient des conseils qui auront été donnés et fait en sorte que les résultats des écrits soient une bonne surprise.
Maintenant les oraux : humeur des jurés variable, difficultés à se loger, étalement des épreuves dans le temps parfois très pénible. En somme la partie désagréable des deux années. Si j'ai un seul conseil à donner, c'est de ne rien dire que l'on ne puisse justifier. La capacité à comprendre et expliquer ses erreurs est aussi très appréciée.
La page prépa se tourne enfin. Il est temps de penser à ses projets personnels, à trouver un job avant de partir dieu sait où en France
Finalement, on aura appris beaucoup sur soi comme sur les autres et on sait maintenant de quoi on est capable. Les études peuvent commencer.
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Je suis rentré en classe prépa au lycée Lesage essentiellement pour sa qualité d'enseignement et sa bonne réputation. J'ai choisi le régime interne externé ce qui me permettait de manger midi et soir au self et de rester travailler à l'internat jusqu'à 22h30 et rentrer chez moi (à 10 min de Vannes). En sup et en spé je passais la plus grande partie de mon temps à l'internat, le midi ou le soir avant et après le repas. Quand je suis rentré en sup je connaissais quelques personnes mais finalement on a appris à tous se connaître et on formait un très bon groupe (de travail et de détente...). C'est important d'avoir un petit groupe avec qui passer du temps à travailler et aussi à faire autre chose que travailler. A l'internat on pouvait travailler dans les chambres au 1er étage ou dans les salles au rez de chaussée (pour être un peu plus au calme) et à plusieurs pour pouvoir s'entraider. Je travaillais tous les soirs, le samedi je sortais et le dimanche j'essayais de travailler un petit peu aussi. Les notes en DS et en colles sont parfois (voire souvent) très basses mais les profs nous boostent le plus possible et ils sont très pédagogues, très ouverts (on peut aller les voir pour poser des questions quand on veut) et encourageants. Lorsqu'on est plusieurs dans la même galère, les 2 ans passent assez vite (surtout la 2ème année). Je garde un très bon souvenir de ces 2 ans pendant lesquels je me suis fait de nombreux potes avec qui je suis toujours en contact aujourd'hui, et qui m'ont permis d'intégrer l'école que je souhaitais, les Arts et Métiers à Angers.
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Voici mon message destiné au élèves de lycée en Terminale :
La prépa .... dois-je m'y aventurer ou plutôt y renoncer ? Suis-je assez solide pour supporter la pression ? .... de tout temps les futurs bacheliers se sont posé ce genre de question .... je prétends y apporter un élément de réponse : si tu veux te connaître , te jauger , la prépa sera ta meilleur expérience. Pour ainsi dire, tu ne vivras pas la prépa mais ta prépa. Aller au bout de soi-même, faire preuve de camaraderie, savoir que tu peux compter sur quelqu'un sont des choses que tu apprendras lors de tes années de prépa . Ce serait mentir que de dire : la prépa est une affaire de grosses têtes, donc est de l'ordre de l'impossible, ou encore, mon frère a intégré Centrale du premier coup, cela ne doit pas être bien sorcier. Quant à l'épanouissement personnel ... je ne me suis jamais aussi bien amusé qu'en prépa, malgré la pression des DM (devoir maison) et DS (devoirs surveillés), ton sens social s'exacerbe d'une façon ou d'une autre. Tu apprends à gérer l'humain, à gérer les euphories ou les déceptions, tu comprends aussi que la récompense est à la mesure de l'effort. Tes activités extra-scolaires se feront plus rares c'est une évidence, tu les apprécieras d'autant plus. Mais le plus important demeure néanmoins la leçon de vie suivante : tu ne te sentiras jamais aussi vivant qu'en prépa, tes réalités vont sans cesse évoluer. Il ne faut pas en avoir peur au contraire, mais l'accepter car la vie de l'ingénieur n'a de sens que dans l'innovation. Si tu es ambitieux et persévérant, si tu as le sens de l'investissement personnel et de l'envie de continuer dans le domaine des sciences, et surtout si tu ne sais pas où t'orienter ... la prépa semble être une opportunité pour toi. La société t'offre cette chance, saisis-la, et surtout sois-en digne car la France compte aussi sur nous. Tu l'apprendras bientôt : l'effort est grand, mais la récompense est encore plus conséquente et qu'importe l'Ecole que tu intègreras, si tu t'es donné à fond !
Voici mon second message destiné aux étudiants de prépa.
En revenant dans la ville de Vannes (je suis Parisien), 6 mois après la fin de la prépa, à l'occasion du forum des Ecoles d'ingénieurs, une certaine nostalgie envahit mon esprit de jeune élève-ingénieur. Il ne reste que du bon, je vous le dis les amis. En particulier, j'affectionne le lycée Lesage et l'espace qu'il propose. Pour ainsi dire, l'association d'idée Lesage-réussite est si intense que je considère la région Bretagne comme une terre d'adoption. Bien que l'air pur breton me manque, l' ESTP demeure une école de rêve. Mais c'est la prépa PT du lycée Lesage qui m'a permis de le réaliser. Et croyez-moi, des prépas, j'en ai fait …( 3 en 3 ans ) . Avec, pour les deux premières années des résultats pas vraiment bons, je le confesse. En outre, à Lesage, la remarquable qualité de l'enseignement n'a d'égale que la gentillesse et la proximité des professeurs. Chacun travaillant selon ses moyens, il ne reste que l'élan vers la réussite. L'équilibre de chacun est le souci de l'équipe éducative, ainsi le profond sentiment de camaraderie, l'ambiance de travail sont des caractéristiques propres à cette classe de PT à Lesage. Tout le monde est tiré vers le haut. J'y ai fait de merveilleuses rencontres je vous l'assure. Tout ceci constituant des souvenirs extraordinaires que je vous souhaite de pouvoir vivre un jour. Rien que pour cela, cette prépa mérite d'être vécu . Et puis quel bonheur de revenir victorieux après tant de doutes, de remises en question, d'incertitudes ..... pour enfin aboutir au nirvana terrestre. Surtout, j'y ai progressé de façon spectaculaire dans toutes les matières. Pour preuve, au bout de la 5/2 et après avoir passé un an sous la protection éducative de mes profs, j'intègre la prestigieuse ESTP. Pour finir, une citation du général De Gaulle un peu modifiée pour l'occasion, que j’ai gardée à l'esprit durant ces trois années de prépa : "Ariel décrié, Ariel débordé, Ariel critiqué, Ariel exploité, Ariel martyrisé ( pas à Lesage je vous assure ), Ariel redouble (à Lesage), mais Ariel intégré !!!" Lesage, Bretagne, si nos chemins se recroisent, je sais que je pourrai compter sur toi car je suis devenu un de tes enfants à présent. Merci à toute l'équipe. Bonne route et bon vent !
C'est vraiment avec émotion que j'ai écrit cet article. Encore une fois et du fond du cœur : SHALOM ALEHEM (en hébreu : merci les amis ).
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Avant d'entrer en prépa, j'ai passé un bac S-SI spécialité math, à Lesage. Les sciences de l'ingénieur (SI) m'ont permis de découvrir les domaines de l'électronique et de la mécanique. Cela a confirmé mon choix de devenir ingénieur en électronique.
Je me suis donc renseigné sur les écoles qui proposent cette formation ainsi que sur la manière d'y entrer. J'ai choisi la voie du concours qui nécessitait deux année de classes préparatoires en filière PT à Lesage.
J'ai fait le bon choix. En effet, mon projet se termine avec succès car j'ai obtenu l'école que je souhaitais, l'ENSEEIHT, grâce à un 17/20 à l'oral de Mathématiques. Au final, ces deux années ne sont pas le calvaire auquel on pourrait s'attendre. Certes le travail occupe une place importante mais la bonne ambiance de la classe permet de décompresser ou de travailler en groupe.
Cette bonne entente est due à la journée d'intégration qui permet de faire rapidement connaissance et au séjour de ski, en première année. Durant cette semaine à la montagne, après les cours du matin, on partait skier. Les descentes, les bosses, les chutes, les courses de luge et les batailles de boules de neige font rapidement oublier les cours. Au retour de ce séjour, la classe est très soudée et l'entraide est d'autant plus présente. Les bons résultats aux concours proviennent aussi de l'encadrement des professeurs qui contribue largement à cette ambiance propice au travail.